31 mars 2006
Une rue, des hommes, des femmes.
Plantée, là, dans la rue, je restais comme bloquée par un souffle incertain, juste ici. Le froid me mordait un peu le bout des pieds, en attendant qu’une main bien heureuse veuille bien m’ouvrir la porte de chez moi, comme je n’arrivais pas à le faire...